Actuellement, Proximus détient près de 40 % des parts de marché de la télécommunication.
“C’est délicat. Il s’agit du plus gros opérateur qui en rachète un autre” commente d’emblée Axel Desmedt, membre du conseil de l’IBPT, le régulateur fédéral en matière de télécoms. L’annonce du potentiel rachat de Mobile Vikings est, pour lui, un signe clair d’une consolidation du marché, même si “Mobile Vikings n’est pas un gros opérateur non plus, avec environ 3 % de parts de marché”, nuance-t-il. “On regrette tout de même la disparition d’un acteur indépendant”, ajoute-t-il.