Immobilier résidentiel: entre 20 et 30 % d’offres en moins

 De quoi tirer les prix vers le haut, selon Trevi, qui évoque une hausse de 4 % en rythme annuel.

L’indice Trevi, calculé par le réseau d’agences du même nom, n’a pas manqué de chuter au cours du 2e trimestre. Mais il s’est repris au cours du troisième, prenant 1 point à 121,27. “Ce qui représente une hausse de 4 % en rythme annuel”, indique Eric Verlinden, le CEO de Trevi Group, qui préfère cet indicateur à celui pointant une hausse de 3 % depuis le 1er octobre 2019. “Il y a quatre, cinq mois, même si je n’y croyais pas personnellement, on parlait d’une chute des prix. Il est donc important de montrer qu’on assiste à un renforcement de la hausse”, explique-t-il. Cette hausse des prix n’est toutefois pas le fait d’une augmentation de la demande, notamment sur des biens avec terrasse ou jardin, mais d’une raréfaction de l’offre. Dans toutes les provinces. Par rapport à la même période l’an dernier, cette baisse est de 8 % sur l’ensemble du pays, mais de l’ordre de 18-20 % dans le Nord de Bruxelles, de 25 à 30 % dans l’Est et le Sud, d’une vingtaine de pour-cent à Namur, etc.

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