Il s’agit bel et bien de la “hausse la plus puissante”, insiste Eric Verlinden, CEO de Trevi. “Aussi spectaculaire d’ailleurs que celles que l’on observait en 2004, 2005, 2006, se souvient-il, amenant des progressions moyennes de prix de 8 à 10 % l’an. [...] On est dans le tout haut de la fourchette des hausses de prix”, insiste-t-il, ce qui ne le ravit pas spécialement : “Entériner une hausse similaire sur les trois prochains trimestres ferait rentrer le marché dans une zone spéculative et par conséquent dangereuse.”