Peut-on espérer des ventes à perte et donc des prix intéressants à la pompe, comme en France ?

La décision du gouvernement français d’autoriser les ventes à perte fait réagir.

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Il ne faut pas s'attendre à ce genre d'action de "vente à perte" à la pompe en Belgique. ©EdA

La décision a de quoi surprendre : le gouvernement français, par la voix de la Première ministre Elisabeth Borne puis du ministre de l’Économie Bruno Le Maire, a décidé d’autoriser la vente à perte du carburant à la pompe, alors que cette pratique est interdite depuis les années 1960.

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