Les analystes se montrent particulièrement enthousiastes sur les perspectives d’un traitement appelé Bimekizumab (psoriasis), qui serait à lui seul susceptible de compenser l’expiration des brevets pour les molécules actuellement dans le portefeuille avec des ventes qui pourraient atteindre 2 milliards d’euros d’ici 2030. L’histoire récente du secteur belge des soins de santé (Galapagos, Thrombogenics, etc.) a toutefois démontré qu’il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué.