Après le coup de froid encaissé la semaine dernière par les stars du Nasdaq à New York, lié aux craintes d’une remontée des taux aux États-Unis en réponse à une éventuelle hausse de l’inflation, les conditions de marché sont redevenues favorables aux valeurs cotées. D’une part, les statistiques sur l’évolution des prix aux États-Unis ont certes montré une incidence de la remontée des prix pétroliers, mais dans une mesure moindre qu’imaginée par les observateurs. L’inflation est passée d’un rythme annuel de 1,4 % à 1,7 % en février, mais hors la composante énergie, elle a reculé de 1,4 à 1,3 %. Et… les rendements des emprunts de référence américains n’ont pas flambé.