Le grand renoncement social d’Alexis Tsipras

Près d’un an après sa dernière élection, le Premier ministre grec se voit contraint de tourner le dos à son "programme parallèle", qui devait compenser les mesures d’austérité. Ce programme contenait une série de mesures de protection sociale, soit une bouée de sauvetage pour quelque 30 % des Grecs qui n’ont plus accès aux soins de santé. Eclairage.

Eclairage d'Angélique Kourounis Correspondante en Grèce
-- AFP PICTURES OF THE YEAR 2015 -- Syriza leader Alexis Tsipras greets supporters following victory in the election in Athens on January 25, 2015. The left-wing Syriza party led by Alexis Tsipras won Greece's general election after campaigning on a pledge to renegotiate the country's international bailout and reverse years of spending cuts and painful economic reforms. AFP PHOTO / ARIS MESSINIS / AFP / ARIS MESSINIS
-- AFP PICTURES OF THE YEAR 2015 -- Syriza leader Alexis Tsipras greets supporters following victory in the election in Athens on January 25, 2015. The left-wing Syriza party led by Alexis Tsipras won Greece's general election after campaigning on a pledge to renegotiate the country's international bailout and reverse years of spending cuts and painful economic reforms. AFP PHOTO / ARIS MESSINIS / AFP / ARIS MESSINIS ©AFP

Près d’un an après sa dernière élection, le Premier ministre grec se voit contraint de tourner le dos à son "programme parallèle", qui devait compenser les mesures d’austérité. Ce programme contenait une série de mesures de protection sociale, soit une bouée de sauvetage pour quelque 30 % des Grecs qui n’ont plus accès aux soins de santé. Le politologue Georges Sefertzis craint que le gouvernement soit encore contraint de prendre des mesures d’austérité complémentaires.

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