Libération d'Olivier Vandecasteele : “La capitulation du gouvernement belge face au vandalisme géopolitique de Téhéran est décevante et troublante”

Une vingtaine de dignitaires américains critiquent la stratégie belge vis-à-vis de l’Iran. Parmi les personnalités qui ont pris la parole, on trouve l’ancien speaker à la chambre Newt Gingrich, l’ancien conseiller à la sécurité John Bolton ou encore l’ancien chef du FBI Louis J. Freeh.

Clément Boileau
Newt Gingrich, ancien speaker à la chambre des représentants et ancien candidat à l'élection présidentielle en 2012.
Newt Gingrich, ancien speaker à la chambre des représentants et ancien candidat à l'élection présidentielle en 2012. ©AFP

Qu’ils aient été visés ou non par l’attentat fomenté par l’Iran en 2018 à Villepinte – déjoué de justesse par divers services de sécurité européens (avec une petite aide israélienne) – ces dignitaires américains sont en colère contre la Belgique. “La capitulation du gouvernement belge face au vandalisme géopolitique de Téhéran est décevante et troublante”, s’emportent, par voie de communiqué, des personnalités liées à l’écosystème politico-sécuritaire américain, tels l’ancien conseiller à la sécurité nationale John Bolton, l’ancien chef du FBI Louis J. Freeh, l’ancien directeur de la CIA Porter Gross ou encore l’ancien commandant du corps des Marines, James Conway.

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