Algérie: le décès du général Gaïd Salah n'est pas synonyme de changement démocratique
Ceux qui espéraient des mesures de détente avec la disparition du général Gaïd Salah sont revenus de leurs illusions. Avant de succomber, le 23 décembre dernier, à une crise cardiaque, le chef d’état-major des armées avait en effet bien verrouillé le jeu pour sauvegarder le "système politique" que les Algériens veulent changer en scandant depuis plus de dix mois "État civil et non militaire".
Publié le 30-12-2019 à 06h38 - Mis à jour le 30-12-2019 à 07h19
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Ceux qui espéraient des mesures de détente avec la disparition du général Gaïd Salah sont revenus de leurs illusions. Avant de succomber, le 23 décembre dernier, à une crise cardiaque, le chef d’état-major des armées avait en effet bien verrouillé le jeu pour sauvegarder le "système politique" que les Algériens veulent changer en scandant
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