Personnel non formé et impayé, machines récalcitrantes... : parfum de chaos sur les élections congolaises

À dix mois de la présidentielle et des législatives, le doute s’accentue sur la tenue du scrutin.

Denis Kadima, président de la Ceni
Denis Kadima, président de la Ceni. ©AFP

”Il faut des élections inclusives. Tous les Congolais en âge de voter doivent pouvoir exercer leur droit”, explique une source européenne. Dans le viseur, surtout, la situation dans l’est de la République démocratique du Congo où l’insécurité règne en maître. “Cette inclusivité sera un facteur majeur pour la crédibilité de ces scrutins”, poursuit la source qui évoque “une ligne rouge” en rappelant qu’“en 2018, certaines régions, comme Beni et Butembo, n’ont pu voter. On ne peut plus accepter une telle situation.”

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