Pagaille totale dans l’est de la RDC

Après les contingents de la Monusco, après les pays de l’East african community, ce sont les Angolais qui sont annoncés dans le Nord-Kivu.

(FILES) In this file photo taken on February 22, 2021 Moroccan soldiers of the MONUSCO (United Nations Organization Stabilization Mission in the DR Congo) patrol the road in the Kibumba area in the Virunga National Park, 25km from Goma, where Italy's ambassador to the Democratic Republic of Congo was killed earlier when a UN convoy came under attack. - Prosecutors in the trial of six people accused of murdering Italy's ambassador to DR Congo in 2021 requested the death penalty on March 8, 2023, during an indictment hearing in the capital Kinshasa. 
The central African country has observed a de-facto moratorium on capital punishment since 2003, according to the United Nations, but courts continue to hand down death sentences. (Photo by ALEXIS HUGUET / AFP)
Des soldats marocains de la Monusco sur la route de Kibumba, dans le Nord-Kivu, en février 2022. (Photo by ALEXIS HUGUET / AFP) ©AFP or licensors

La semaine dernière, le parlement angolais a donné son aval pour l’envoi d’un bataillon de l’armée nationale dans le Nord-Kivu. Pas question de mission offensive contre les rebelles du M23 qui occupent une large part du territoire de cette province, mais bien une mission de paix et de surveillance pour les futurs cantonnements de ces rebelles.

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