À Khartoum, une équipe de médecins de MSF continue de travailler sous les bombes: "Il est impossible de tenir très longtemps dans ces conditions"

À Khartoum, sous les bombes, une équipe de médecins de MSF continuent de travailler.

Workers register refugees who crossed from Sudan to Ethiopia at the IOM (International organization for Migration) office in Metema, on May 4, 2023. More than 15,000 people have fled Sudan via Metema since fighting broke out in Khartoum in mid-April, according to the UN's International Organization for Migration, with around a thousand arrivals registered per day on average. (Photo by Amanuel Sileshi / AFP)
Des Soudanais qui ont fui la guerre arrivent à la frontière avec l'Éthiopie où ils sont enregistrés par des employés locaux de l'OMS. . (Photo by Amanuel Sileshi / AFP) ©AFP or licensors

”Ici, dans la capitale, il n’est pas question de cessez-le-feu. Les combats s’enchaînent tous les jours. Il n’y a aucun répit. C’est devenu invivable mais il est impossible de quitter la ville”, explique Ali Hussein, jeune dentiste qui regrette de ne pas avoir quitté la ville dès les premières heures des affrontements. “Aujourd’hui, c’est trop dangereux et les transports sont devenus impayables parce que l’essence est trop chère et parce que nous n’avons plus accès à nos comptes en banque.”

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