“Des corps qui explosent, des jambes cassées, et cela sans aucune justification” : un massacre de civils a eu lieu à Goma

Au moins 48 civils abattus par les forces armées le 30 août dans le chef-lieu du Nord-Kivu.

Arrested members of the Wazalendo sect are sat and lined up in Goma, Democratic Republic of the Congo, Wednesday, Aug. 30, 2023. More than 40 people died and dozens were injured in clashes in the Congolese city of Goma between protesters from the Wazalendo religious sect and the armed forces, national authorities said. (AP Photo/Moses Sawasawa)
Des membres de la secte arrêtés dans les rues de Goma, le 30 août. (AP Photo/Moses Sawasawa) ©Copyright 2021 The Associated Press. All rights reserved.

À moins de quatre mois de la présidentielle en République démocratique du Congo, l’est du pays a basculé dans une nouvelle vague de violence. Le mercredi 30 août, les forces armées congolaises sont intervenues pour “empêcher une manifestation contre l’Onu”, selon le lieutenant-général Constant Ndima, gouverneur militaire de la province du Nord-Kivu, placé, comme la province voisine de l’Ituri, sous état de siège depuis le mois de mai 2021.

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