Le coronavirus plonge la Chine dans une nouvelle crise (géo)politique

Dans un pays où garder la face se révèle essentiel, la fermeture des frontières terrestres de pays voisins amis (comme le Kazakhstan, le Népal ou la Corée du Nord) et l’interdiction d’entrée, aux États-Unis ou en Australie, d’étrangers venant de Chine claquent comme une gifle. D’autant qu’elles s’accompagnent, sur les réseaux sociaux, d’un tombereau d’injures, de fantasmes et de critiques antichinois (l’origine supposée du coronavirus - une soupe de chauve-souris - n’aidant évidemment pas).

Le coronavirus plonge la Chine dans une nouvelle crise (géo)politique
©afp

Dans un pays où garder la face se révèle essentiel, la fermeture des frontières terrestres de pays voisins amis (comme le Kazakhstan, le Népal ou la Corée du Nord) et l’interdiction d’entrée, aux États-Unis ou en Australie, d’étrangers venant de Chine claquent comme une gifle. D’autant qu’elles s’accompagnent, sur les réseaux sociaux, d’un tombereau d’injures, de fantasmes et de critiques antichinois (l’origine supposée du coronavirus - une soupe de chauve-souris - n’aidant évidemment pas).

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