Les révélations d'un lanceur d'alerte américain sur des objets ovnis: "Ça peut être d'origine extraterrestre ou encore autre chose"
David Grusch, un officier du renseignement américain, a alerté sa hiérarchie sur des objets "non humains" exploités de l'autre côté de l'Altantique.
- Publié le 07-06-2023 à 17h55
:focal(2495x1671.5:2505x1661.5)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/QNSKI6DYYREMNBBAAQ3K46PXXI.jpg)
David Grusch aurait préféré que son nom ne soit jamais rendu public. L'homme de 36 ans, un officier qui travaille pour les renseignements américains depuis 14 ans, a fait une découverte pour le moins étonnante.
Il a découvert que les Etats-Unis détenaient depuis des décennies des ovnis d'origine non-humaine et a alerté sa hiérarchie. "Depuis presque quatre-vingt-dix ans, les États-Unis et leurs alliés ont récupéré des fragments d’objets et des objets exotiques, des vaisseaux endommagés ou intacts… Les analyses menées ont apporté la preuve qu’il s’agissait d’objets non humains, en particulier ceux découverts il y a quatre-vingt-dix ans. Les programmes dont je parle étaient consacrés à de la rétro-ingénierie à des fins militaires", confie-t-il à nos confrères du Parisien.
David Grusch est donc devenu un lanceur d'alerte en la matière, lui qui a dénoncé son gouvernement. Il a obtenu des garanties que le matériel était bien d'origine non-humaine: "Je n’étais pas sûre de leur origine non humaine, jusqu’à ce que je sois briefé sur l’analyse réalisée par les membres de ces programmes sur ces vaisseaux récupérés", explique-t-il. "Ça peut être extraterrestre ou ça peut être autre chose, venant d’autres dimensions telles que décrites par la mécanique quantique. Je n’ai pas vu assez de données pour dire que c’est une chose plutôt qu’une autre. Le gouvernement américain doit avoir plus d’informations."
Il a lui-même vu du matériel "exotique": "J’ai vu des choses très intéressantes dont je ne suis pas autorisé à parler publiquement pour l’instant. Je n’ai pas l’approbation". Il entend par contre donner d'avantage d'informations dans le futur: "J’ai plus d’informations que je publierai plus tard. Je veux être un leader d’opinion sur ce sujet. Je lancerai cette année une fondation à but non lucratif pour aider le milieu scientifique à démarrer des protocoles sur ce sujet, depuis les étudiants de premier cycle jusqu’aux diplômés".