Terrorisme : le défi de la coopération américano-pakistanaise

Vingt ans de méfiance entre Islamabad et Washington vont compliquer cette alliance.

Emmanuel Derville, correspondant à New Delhi
Le Premier ministre pakistanais Imran Khan attend toujours le coup de fil de Joe Biden. "J’imagine qu’il doit être très occupé, mais notre relation avec les États-Unis ne se limite pas à un appel téléphonique", a-t-il déploré.
Le Premier ministre pakistanais Imran Khan attend toujours le coup de fil de Joe Biden. "J’imagine qu’il doit être très occupé, mais notre relation avec les États-Unis ne se limite pas à un appel téléphonique", a-t-il déploré. ©AFP / AP

Plus de huit mois après son entrée à la Maison-Blanche, Joe Biden ne l'a toujours pas appelé. Le Premier ministre pakistanais Imran Khan attend son coup de fil. Et ça l'agace. Même s'il tente de faire bonne figure. "J'imagine qu'il doit être très occupé, mais notre relation avec les États-Unis ne se limite pas à un appel téléphonique", a-t-il lancé lors d'une interview à la chaîne CNN le 15 septembre.

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