Boris Johnson teste la patience de l’Union européenne en mangeant sa parole

Le gouvernement dépose un projet de loi qui revoit des dispositions de l’accord de retrait conclu avec l’UE.

Boris Johnson teste la patience de l’Union européenne en mangeant sa parole
©AFP

Il y a tout juste un an, Boris Johnson clamait vouloir "un Brexit coûte que coûte le 31 octobre". Le Premier ministre britannique assurait que s’il était impossible de conclure un accord sur un retrait du Royaume-Uni de l’UE avec les Vingt-sept à cette date, ces derniers devraient affronter les conséquences d’un Brexit dur. Finalement, Johnson a fini par lâcher du lest pour décrocher un accord in extremis. Pour y parvenir, il avait desserré le lien entre la Grande-Bretagne et l’Irlande du Nord.

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