Vladimir Poutine, "plus isolé que jamais", continue à frapper
Au septième jour de la guerre déclenchée par Vladimir Poutine contre son voisin ukrainien, les forces russes ont continué à pilonner mercredi une série de villes du pays, dont Kharkiv.
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Publié le 02-03-2022 à 19h27 - Mis à jour le 03-03-2022 à 09h10
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Physiquement éliminé ? Cela m'a "échappé", "c'était une erreur". "Je sais qu'un ministre des Affaires étrangères ne devrait jamais utiliser de tels mots", a tenté de rattraper M. Asselborn par voie de communiqué. Mais, "même après dix-huit ans en tant que ministre des Affaires étrangères, je n'arrive pas à réprimer mes émotions et mon sens de la justice, face à une souffrance humaine aussi incommensurable infligée à des innocents".
Car, au septième jour de la guerre déclenchée par Vladimir Poutine contre son voisin ukrainien, les forces russes ont continué à pilonner mercredi une série de villes du pays, dont Kharkiv. Alors que des troupes aéroportées y débarquaient, des frappes ont touché des bâtiments des forces de sécurité et de police, ainsi que l'université et la mairie de la grande ville russophone de l'est du pays. Dans le Sud, après la prise de Kherson par les soldats russes, le maire, Igor Kolykhaïev, a crié à la "catastrophe humanitaire"...
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