Le Parlement européen démarre son enquête sur l’affaire d’espionnage Pegasus : "Il y a une crise de l’état de droit"
Il s’agit de porter au niveau de l’UE le débat sur l’utilisation de ce logiciel par des gouvernements.
:format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/6RYIIXC7FBDW7BMXUNULAG5JFQ.jpg 480w,https://www.lalibre.be/resizer/BuhVCEIT6F4W1DkGvVCDwjoN2Vs=/480x480/smart/filters:quality(70):format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/6RYIIXC7FBDW7BMXUNULAG5JFQ.jpg 992w)
Maria UdrescuJournaliste en charge des Affaires européennes
Publié le 19-04-2022 à 21h45 - Mis à jour le 19-04-2022 à 21h50
:format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/2QVCQ47OEJGALJLCTO62MAJ5SA.jpg)
"C'est clairement une violation de droits fondamentaux, de l'immunité parlementaire, de la liberté d'expression, du droit d'association, à la vie privée, à l'action politique", s'est indignée mardi Diana Riba, lors du lancement des travaux de la commission d'enquête du Parlement européen...
Cet article est réservé aux abonnés
Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité
Déjà abonné ?Connectez-vous