Procès du "nettoyage" du meurtre d’une prostituée: l’escort qui en avait vu plus que ce qu’elle avait dit
Ce mardi, au septième jour du procès de l’incendie de la rue Fondary à Paris, au cours duquel une personne est morte en voulant faire disparaître les traces de son crime, la seule accusée renvoyée pour complicité d’homicide volontaire a livré à la barre une version inédite de son histoire.
Juliette Delage, pour Liébration
Publié le 25-05-2022 à 09h51

Pendant longtemps, Leniska s'est retranchée derrière des mots creux qui ne racontaient pas grand-chose. Des réponses floues dans lesquelles on ne pouvait que se perdre. Un discours «lisse» , a même relevé une psychologue au cours de l'instruction, sur lequel patinent les enquêteurs depuis maintenant six ans. Quel rôle a-t-elle joué dans le meurtre d'Alixon Ortega ? Etait-elle présente lorsque sa patronne, la proxénète Maria Paz, a assené, au début du mois d'août...
Cet article est réservé aux abonnés
Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité
Déjà abonné ?Connectez-vous