De la Rolex au sac rempli d’argent, le Qatar n’hésite pas sur la dépense pour étendre son influence

Cadeaux, financement d’organisations non-gouvernementales, le Qatar est généreux. Mais il n’est pas le seul pays du Golfe à Bruxelles à faire du lobbying.

This undated photo shows Greek European Parliament vice president Eva Kaili (R) and her partner Francesco Giorgi, a parliamentary assistant with the European Parliament's Socialists and Democrats group, both involved in a corruption probe implicating World Cup hosts Qatar, walking in a northern suburb of Athens. - Greek authorities froze assets of Eva Kaili on December 14, 2022, after the Greek MEP was arrested on corruption charges over her alleged involvement in a graft scandal linked to Qatar. (Photo by Eurokinissi / AFP) / RESTRICTED TO EDITORIAL USE - MANDATORY CREDIT "AFP PHOTO /EUROKINISSI " - NO MARKETING NO ADVERTISING CAMPAIGNS - DISTRIBUTED AS A SERVICE TO CLIENTS
Cette photo non datée montre la vice-présidente du Parlement européen grec Eva Kaili et son partenaire Francesco Giorgi, assistant parlementaire du groupe des socialistes et démocrates du Parlement européen, tous deux impliqués dans une enquête de corruption impliquant le Qatar. ©Eurokinissi

Là où il y a de l’argent, il y a de la corruption, dit l’adage. Les montagnes d’argent accumulées depuis des décennies par les pays du Golfe arabo-persique suscitent bien des appétits et nourrissent d’intenses campagnes de relations publiques et de soft power des émirats. À Bruxelles, également.

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