Peut-on dire que l’influenceur Dylan Thiry s’adonne à du trafic d’enfants, comme l’en accuse Booba ?

Le rappeur a révélé mardi 25 avril que l’instagrameur luxembourgeois avait envisagé de se rémunérer sur une adoption à Madagascar par un couple à Dubaï. Deux députés français ont saisi la procureure de la République de Paris. Mise au point juridique sur cette polémique.

Mathilde Roche

"A 18 heures c’est la fin de Dylan Thiry, pour ceux qui l’aimaient il est temps d’aller chez le fleuriste, pour les autres sortez pizzas pop-corn et Heineken ça va chier !!!!!!!", avertit Booba lundi 24 avril sur son compte Twitter suivi par six millions de personnes. Une annonce qui ne surprend plus sa communauté : sa carrière de rappeur est désormais presque éclipsée par son rôle de "lanceur d’alerte" autoproclamé sur les pratiques illégales ou amorales des influenceurs. Les heures qui suivent, l’artiste "tease" ses futures révélations avec des tweets survoltés sous forme de compte à rebours, portant le réseau social à ébullition.

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