"Emmanuel Macron ne croit manifestement pas en la pertinence d’une politique de la Ville, qu'il a qualifiée de 'clientéliste' et qui favoriserait le 'communautarisme'"
Thomas Kirszbaum analyse la politique menée jusqu’ici par le président sortant à l’égard de “ces quartiers dont on préfère ne plus parler”. "Comme en 2017, ils ont été quasiment absents des propositions des candidats à l’élection présidentielle, si ce n’est à travers un discours de stigmatisation fustigeant les 'ghettos' et 'l’islamisme'", constate le chercheur associé au Centre d’études et de recherches administratives politiques et sociales.
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Sabine VerhestJournaliste
Publié le 19-04-2022 à 15h13 - Mis à jour le 22-04-2022 à 12h20
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La France compte à peu près 1 500 quartiers populaires, ces banlieues, souvent chaudes, stigmatisées, peuplées de personnes à faibles revenus et/ou issues de l'immigration. Jean-Luc Mélenchon y a fait le plein de voix le 10 avril dernier et la question qui se pose, en cet entre-deux tours, est de savoir vers qui se portera le choix des...
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