Les Occidentaux ont peu de raisons de se réjouir outre mesure du sort d’Evgueni Prigojine

"La Russie poursuivra son jeu cynique, avec ou sans Wagner, en Ukraine et en Afrique".

"La Russie poursuivra son jeu cynique, avec ou sans Wagner, en Ukraine et en Afrique".
"La Russie poursuivra son jeu cynique, avec ou sans Wagner, en Ukraine et en Afrique". ©AP

Les jours d'Evgueni Prigojine, patron du groupe paramilitaire Wagner, étaient sans doute comptés depuis qu'il avait lancé, en juin, une rébellion contre Moscou, humiliant ainsi le puissant président russe Vladimir Poutine en pleine guerre contre l'Ukraine. L'annonce par le Kremlin de la mort de ce putschiste dans un "accident" d'avion n'a donc pas étonné grand monde dans les rangs des Occidentaux, qui ont néanmoins accueilli la nouvelle avec une certaine circonspection. Et surtout, sans se faire d'illusions sur une éventuelle baisse d'activité de Wagner, vassal du Kremlin, en Ukraine ou dans différents pays d'Afrique.

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