Contacté par nos confrères de France Télévisions, le dessinateur explique la démarche qui a guidé son crayon : "Pour moi, Copenhague, c'est cette petite sirène. Toujours calme, un peu endormie. Je décide de la faire réagir, avec ce doigt d'honneur adressé à la barbarie."
Symbolique et efficace, le dessin fait rapidement le tour du monde via les réseaux sociaux. Au point d'être imprimé sur des t-shirts en vue d'une manifestation à venir : "Ce dessin de révolte voyage très facilement et très vite" constate son auteur, qui précise que les remerciements affluent depuis le Danemark.