Soutenu par une partie du parlement, le projet est toutefois critiqué par certains. Le journal Haaretz plaide notamment, au nom de la liberté d'expression, pour le maintien d'un terme qui est surtout "un artifice destiné à choquer",
C'est justement une provocation qui est à la base de ce débat autour de l'interdiction du terme et des symboles nazis. En 2011, de nombreux juifs ultra-orthodoxes avaient arboré uniformes rayés et étoiles jaunes pour réclamer la création de zones séparées pour les deux sexes dans les espaces publics. Choquée, l'opinion publique avait réagi autour de ce débat qui pourrait donc trouver une première réponse si ce projet de loi venait à être accepté.