Selon des experts de l’Onu, les activités pétrolières d’Aramco sont aussi néfastes pour les droits de l’homme

Un courrier envoyé au premier producteur mondial lie l’impact environnemental et les conséquences sociales.

FILE - Storage tanks are seen at the North Jiddah bulk plant, an Aramco oil facility, in Jiddah, Saudi Arabia, on March 21, 2021. Saudi Arabia's state-run oil giant Aramcobrought in $30 billion in revenues in the second quarter of 2023, a nearly 40% decline from the same period the previous year, which it attributed to lower crude oil prices. (AP Photo/Amr Nabil, File)
Réservoirs pétroliers d'Aramco au nord de Djedda, sur la côte de la mer Rouge. ©Copyright 2021 The Associated Press. All rights reserved

Cela fait deux mois révolus que des experts des Nations unies ont adressé un courrier au géant saoudien du pétrole Aramco. Ils s’y inquiètent des conséquences environnementales et sociales des activités du premier producteur mondial d’or noir pour les populations locales. Dans cette lettre, datée du 26 juin, ce groupe d’experts exprime sa “plus grave préoccupation” à propos de l’impact environnemental négatif que ces activités, comme l’exploitation des combustibles fossiles, peuvent avoir sur la promotion et la défense des droits de l’homme dans un contexte de changement climatique. Le délai de réponse laissé à l’entreprise étant échu, la piqûre de rappel s’est faite publiquement, avec la communication de ce courrier sur le site des procédures spéciales du Conseil des droits de l’homme de l’Onu.

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