"Il n'y a eu aucune pitié pour nous. Des amis à moi ont été torturés pendant des jours"

Un an après le soulèvement qui a secoué l’Iran, la colère couve toujours au sein de la population. Et notamment dans les universités.

Clément Boileau

Un an après le meurtre de Mahsa Amini, étudiante kurde arrêtée et tabassée à Téhéran pour n’avoir pas correctement porté le voile islamique, l’Iran serre la vis, à coups d’arrestations arbitraires, de jugements expéditifs et de pendaisons. Un durcissement qui n’a pas tué le slogan "Femme, vie, liberté", lequel s’était répandu comme une traînée de poudre lors du soulèvement qui a suivi le décès la jeune femme en septembre 2022.

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