L’indignation était à son comble jeudi après l’assassinat de l’intellectuel et militant chiite Lokman Slim, retrouvé mort dans sa voiture au sud du pays, dans une région considérée comme le bastion du Hezbollah.
Tué froidement de cinq balles dans la tête et d’une balle dans le dos, cet activiste de 58 ans ne cachait pas, loin s’en faut, son hostilité à l’encontre du Hezbollah pro-iranien et du mouvement Amal, les deux poids lourds de la scène politique chiite.
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