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Pourquoi ressent-on un malaise à l’idée de se projeter dans une vie sociale et professionnelle comme avant?

Bien-être

E.W.

Abonnés Publié le 10-06-20 à 11h43 - Mis à jour le 10-06-20 à 13h00

Pourquoi ressent-on un malaise à l’idée de se projeter dans une vie sociale et professionnelle comme avant?
© Pexels
Avec la réouverture de l’horeca, la crise sanitaire semble s’éloigner un peu plus et la normalité retrouver plus d’ampleur. Oui mais...

Pour beaucoup, la satisfaction et la joie de retrouver une vie sociale sont au rendez-vous. Pour d’autres pourtant, la situation est plus compliquée : l’anxiété liée à la contagion n’est plus le problème, celui-ci est d’un autre ordre, plus intime : on a rêvé d’un changement, vécu au rythme de sa propre horloge et là, tout s’accélère à nouveau, la foule est partout et l’injonction sociale sonne le clairon ! Soudain " se met en place un écart entre le désir de faire et ce que l’on se sent obligé de faire ", explique Nicolas Pinon, psychologue, docteur en Sciences psychologiques et de l'Education à l’UCLaouvain et HE Vinci.

Pour lui, cette période a conduit à plusieurs constats : " Le ralentissement a permis de reprendre prise sur son propre rythme biologique, sans contrainte externe, d’une part. D’autre part, ce temps a aussi permis de développer d’autres habitudes. Une étude anglaise menée par Philippa Lally, a mis en évidence qu’il semblerait que nous soyons capables de développer des comportements nouveaux de façon automatique en 12 semaines environ (avec une moyenne de 66 jours). Les personnes ayant choisi leur nouveau rythme peuvent se sentir " agressées " de devoir à nouveau prendre le rythme " imposé " par l’extérieur ", réfléchit le psy.

Et pour ceux qui ont fait l’expérience de se retrouver face à soi, (...)

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