Il était une fois, Louvain-la-Neuve: la ville qui avait tout, sauf un cimetière
40 ans après la mise en service de la ligne SNCB LLN-Ottignies, 30 ans après la visite du pape Jean-Paul II et au seuil de nouveaux défis, LaLibre.be vous raconte le destin de Louvain-la-Neuve, la ville qui avait tout… sauf un cimetière.
Publié le 26-01-2015 à 11h57 - Mis à jour le 12-05-2020 à 15h59
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« Le charme désuet d’une station de sports d’hiver ringarde », « un village artificiel rempli de privilégiés », « un dédale de rues sans aucune logique »... Louvain-la-Neuve a ses détracteurs, étudiants et habitants, qui critiquent son architecture surprenante, reflet d’une époque où les ardoises Eternit et la moquette du sol au plafond avaient la cote.
Mais qui aurait pu imaginer à l’aube des années 70 qu’une ville nouvelle verrait le jour au beau milieu des champs de betteraves brabançons? Et que, en 40 ans, elle passerait d’une centaine d’habitants à plus de 10.000 « Néo-Louvanistes »? C’est pourtant le destin qu’a connu Louvain-la-Neuve, une cité née de l’imagination d’urbanistes et d’architectes parfois fantasques guidés par un visionnaire, le professeur Michel Woitrin.
40 ans après la mise en service de la ligne SNCB LLN-Ottignies, 30 ans après la visite du pape Jean-Paul II et au seuil de nouveaux défis, LaLibre.be vous raconte le destin de Louvain-la-Neuve, la ville qui avait tout… sauf un cimetière.
Une tranche d’histoire à découvrir en textes et témoignages vidéo inédits (ici).
