Stéphane Bern évoque la personnalité de Napoléon, mort voici 200 ans: "Comme chez tout homme, il y a une part d'ombre et de lumière"

Bicentenaire de la mort de Napoléon: selon Stéphane Bern, il faut commémorer, pas célébrer

Isabelle Monnart

Le 5 mai 1821, à “17 heures et 49 minutes”, Napoléon Ier s’éteint à Sainte-Hélène, où il vit en exil depuis six ans. Il n’a que 51 ans. Il rend “le plus puissant souffle de vie qui eut jamais agité l’argile humaine”, comme l’écrit Chateaubriand. Même Hudson Lowe, gouverneur anglais de l’île et geôlier de Napoléon, déclare devant son lit de mort : “Messieurs, c’était le plus grand ennemi de l’Angleterre, c’était aussi le mien. Mais je lui pardonne tout. À la mort d’un si grand homme, on ne doit éprouver que tristesse et profond regret.”

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