Essai auto Toyota Prius: changement de cap

Incarnation même de la voiture hybride, la Toyota Prius change radicalement pour sa 5e génération. Non seulement en termes de style, mais également sur le plan technique et, surtout, son comportement sur la route. Nous l’avons prise en main en avant-première cinq mois avant son arrivée en concessions.

Nicolas Morlet

Commençons donc par ce qui se voit : le style. Bien sûr la Prius conserve son allure effilée dictée par l’aérodynamisme – gage d’efficience énergétique – mais elle se fait plus basse, plus profilée que par le passé. Combiné aux poignées de portes désormais intégrées dans la custode arrière, on aurait presque affaire à un coupé. Et le reste des traits, plus harmonieux et moins torturés nous font dire que cette Prius est enfin jolie ! Mais cette nouvelle apparence n’est pas sans conséquences, notamment du côté de l’habitabilité arrière, plus limitée au niveau de la tête des passagers, principal bémol d’un intérieur au demeurant très bien construit. Il se calque sur ce qu’on a déjà pu voir sur le BZ4X notamment, avec une instrumentation forcément numérique, repoussée assez-loin en avant et permettant de se passer d’afficheur tête-haute dans le pare-brise.

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