Mercedes GLC Coupé : un peu plus fun, un peu moins gourmand
Mercedes avait à peine lancé la carrière de son nouveau GLC que sa déclinaison coupé arrivait déjà sur le marché dans la foulée. La gamme est presque identique, à quelques détails près. Vocation plus dynamique oblige…
- Publié le 10-09-2023 à 16h54
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Le SUV coupé, c’est vraiment la sous-catégorie en vogue du moment. Marques généralistes, marques premium, tout le monde à le(s) sien(s). Pourquoi ce soudain engouement ? A notre humble avis, c’est une transition imposée par les impératifs énergétiques. Transition qui passe par ces carrosseries par définition plus aérodynamiques que celles des SUV "normaux", et qui, à force de proposer des véhicules toujours plus profilés et de moins en moins hauts, donne l’impression que les constructeurs sont en train de discrètement ramener la clientèle vers… la simple berline. Mais tout ça n’est que supputations. En attendant, le marché raffole de ces SUV au profil plus dynamique (pour ne pas dire sportif), qui semblent aussi promettre des sensations de conduite différentes.
Suspensions sport en série
Voilà pourquoi sur le GLC, Mercedes installe des suspensions sport en série sur toute la gamme. Sur les versions plug-in, le train arrière a aussi droit à des amortisseurs pneumatiques à hauteur ajustable automatiquement. Et en option, on peut aller plus loin, avec des suspensions pneumatiques sur les 4 roues, et le train arrière directionnel. Nous venons de le dire, le GLC Coupé reprend les versions hybrides rechargeables du GLC Coupé (313 ou 381 ch en essence, 335 ch en diesel), qui offrent également quelque 90 km d’autonomie électrique en conditions réelles. Copier-coller aussi pour le reste du catalogue, avec les 2.0 essence de 204 et 258 ch, et les diesel de 197 et 269 ch.
Sur la route, on retient de la version diesel 197 ch que le châssis sport de base se marie très bien avec le look du GLC Coupé, en lui offrant effectivement un ressenti assez engageant en conduite sportive sur un tracé sinueux. On apprécie au passage que Mercedes n’ait pas forcé le trait, puisque le confort est assuré dans ce qui reste un véhicule familial avant tout. L’autre version essayée, la plug-in essence, recevait la totale : suspensions pneumatiques et 4 roues directionnelles. Sur le même genre de tracé, il est clair que cette dernière option est franchement un must. L’agilité est telle que le véhicule fait facilement oublier ses pourtant imposants 2 300 kilos.