Melania Trump, la plus décolletée des First Ladies que l'Amérique ait portée...
La femme du président a des années de décolletés étourdissants, d'ongles comme des griffes, de robes qui vêtent (trop) court ou près, de fourrures invraisemblables et de bijoux gros comme les robinets dorés de la Trump Tower à faire oublier. Et ce n'est pas gagné pour cette First Lady dont tout le monde se méfie...
- Publié le 17-11-2016 à 17h38
- Mis à jour le 17-11-2016 à 17h50
La femme du président a des années de décolletés étourdissants, d'ongles comme des griffes, de robes qui vêtent (trop) court ou près, de fourrures invraisemblables et de bijoux gros comme les robinets dorés de la Trump Tower à faire oublier. Et ce n'est pas gagné pour cette First Lady dont tout le monde se méfie...
Une taille vertigineuse (1,80m) comme Michelle Obama, un visage habilement mais hardiment retouché comme Carla Bruni, une First Lady née hors du sol américain comme Louisa Adams, l'épouse du président John Adams en 1825, un amour pour le cuir comme la femme d'Emmanuel Macron, une poitrine avantageuse comme Marilyn époque Kennedy, des yeux très bleus comme Anne Sinclair, ... Est-ce que toutes ces similitudes avec des femmes célèbres d'hommes politiques non moins reconnus vont faire de Melania Trump une impeccable First Lady ?
Sera-t-elle capable de réaliser une révérence parfaite devant la reine d'Angleterre, haut fait d'armes de la Carla de Nicolas ? Saura-t-elle rallier à ses looks tous les Américains à la manière de l'incroyable Michelle, la plus aimée des First Ladies ? Hmmm... c'est peut-être là que le bât blesse et que les conseillers (en style) de la Maison Blanche vont avoir du boulot.
Car si certaines ont des tendances jeans-baskets (Julie Gayet, tu nous écoutes?!) qu'elles ont du mal à combattre, Melania Trump née Knauss il y a 46 ans en ex-Yougoslavie aime ce qui clinque, ce qui squinche, ce qui rutile, ce qui froufroute, ce qui décollete, ce qui épouse les formes. C'est comme ça ! Et même si on l'a vu faire de remarquables efforts lors de la campagne du candidat Trump (surtout vers la fin du marathon), couvrant sa gorge ou ne dévoilant qu'un bras, rallongeant ses robes jusqu'en dessous du genou; eh bien le souci avec Mrs Trump c'est qu'une robe portefeuille au décolleté (trop) prononcé ou un imper porté façon "J'ai rien en dessous" sont si vite arrivés...
Ah Melania, que va-t-on faire de toi ? Grande poupée de l'Est lovée dans la fourrure; quarantenaire qui réfute les lois de la gravité, mannequin au passé léger léger, beauté plastique au regard plus squinchant qu'intello; épouse plus habituée à tourner des robinets en or plutôt que le frichti sur le feu pour le petit (Barron), spécialiste de l'art ongulaire plutôt que contemporain, on peut dire qu'elle a tout à prouver, la pauvrette ! Et qu'on l'attend au tournant : elle a 28% d'opinions favorables et 32% d'opinions défavorables, les plus mauvais chiffres pour une future First Lady depuis les années 1980, selon Gallup.
Franchement ? On a presque envie qu'elle nous en foute plein la vue pour nous étouffer dans nos remarques sceptiques : et si elle se révélait être une pasionaria de la cause des femmes, infiltrée en loucedé depuis 1999 auprès de Donald ? Michelle pourrait aller se rhabiller avec son programme de lutte contre l'obésité des enfants !
La good news ? Les créateurs américains vont pouvoir aisément lui donner quelques pistes et hop, l'économie serait relancée (Madame est plutôt shopping-addict). Enfin, on l'espère parce que pour l'instant, il n'y a que la marque New Balance qui semble satisfaite de voir Trump au pouvoir... Et Melania uniquement en sneakers NB aux pieds, ce n'est pas gagné, elle virerait vite fait Gabrielle Solis, desperate housewife errant dans les longs couloirs de la Maison Blanche...