L'ennemi numéro 1 de la biodiversité n'est pas celui qu'on pense

Les espèces sont inégales face aux divers aspects de la fragmentation du territoire. Si la multiplication des routes ne constitue pas une menace directe pour les oiseaux et les insectes volants, elle s’avère particulièrement dommageable pour la plupart des mammifères et batraciens. Quant à la pollution lumineuse, un aspect méconnu de la fragmentation, elle constitue une perturbation particulièrement nuisible pour les chauves-souris.

L'ennemi numéro 1 de la biodiversité n'est pas celui qu'on pense
©shutterstock

La première cause de la perte de biodiversité en Wallonie n’est pas le réchauffement climatique ni l’utilisation massive de produits phytosanitaires mais bien le morcellement des habitats naturels causé par les activités humaines (construction de nouvelles routes, gestion intensive des parcelles agricoles, urbanisation…).

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