Sandrine Dixson-Declève a peu d'espoir en la COP26: "Le problème c'est le manque de leadership de nos politiciens"

La Belge Sandrine Dixson-Declève, coprésidente du Club de Rome, se montre pessimiste à l’ouverture de la Cop 26. "On se dit que rien ne sera à la hauteur de ce que nous décrit la science."

Sandrine Dixson-Declève a peu d'espoir en la COP26: "Le problème c'est le manque de leadership de nos politiciens"
©Tim Dirven

Coprésidente du Club de Rome, groupe de réflexion internationalconnu pour avoir publié le rapport "Les limites à la croissance" en 1972, la Belge Sandrine Dixson-Declève est l'auteur avec Esméralda de Belgique, Adelaïde Charlier et Anuna De Wever du livre Quel monde pour demain ?. Conseillère en transition économique et énergétique de l'Union européenne et de l'Onu pour l'énergie durable et la résilience alimentaire, elle a œuvré par ailleurs pour la mise en place de normes environnementales et climatiques dans les industries, y compris pétrolières. Elle est une habituée des Conférences sur le climat de l'Onu. Entretien, avant la Cop 26.

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