"D'ici 2040, 35 % de la viande pourrait être cultivée" en laboratoire
Les investissements se multiplient dans le secteur de la "viande cultivée" en laboratoire. Les fabricants mettent en évidence les avantages sanitaires et environnementaux. Mais il n'y a pas encore de consensus scientifique à ce stade.
:format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/7XYNF33CIRGDLHJQXXRGVAXJ4M.jpg)
:format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/V2GDX2L7GVF4ZIOGBRTD3VILXI.jpg 480w,https://www.lalibre.be/resizer/_yNAbbw3rTYczY7ls6F3Y2cAgbE=/480x480/smart/filters:quality(70):format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/V2GDX2L7GVF4ZIOGBRTD3VILXI.jpg 992w)
Sophie DevillersJournaliste service Planète
Publié le 30-04-2022 à 16h34 - Mis à jour le 30-04-2022 à 16h37
"D'ici à 2030, 10 % de la viande pourrait être cultivée", assure Robert E. Jones, chef-coq de formation, "maître du barbecue" et à présent responsable des affaires publiques de l'entreprise hollandaise Mosa Meat, qui fut la première à produire à du bœuf cultivé en laboratoire, en 2013. Le concept de la viande cultivée ? Prélever des cellules sur un animal qui seront ensuite plongées dans un bioréacteur. Dans cette cuve, les cellules sont mélangées à un liquide qui leur fournit nutriments,...
Cet article est réservé aux abonnés
Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité
Déjà abonné ?Connectez-vous
Sur le même sujet