Faire pousser de la biomasse sur des sites marginaux, une solution d'avenir? "Il existe actuellement un très haut potentiel"

Après quatre ans, le projet New-C-Land touche à sa fin. En plantant de la biomasse sur des sites considérés comme marginaux, les chercheurs et personnes impliquées dans le projet espèrent montrer que des chaînes de valeur existent... et rapportent.

Plantation de rhyzomes et de vitroplants au printemps 2021 sur le site du Martinet, à Charleroi, en présence de Paul Magnette.
Plantation de rhyzomes et de vitroplants au printemps 2021 sur le site du Martinet, à Charleroi, en présence de Paul Magnette. ©D.R. / New-C-Land

Qu'ont en commun le site d'une ancienne usine de produits chimiques à Auvelais, l'ancienne cour d'un hangar industriel Roeselare ou encore une ancienne décharge en périphérie de Lille ? Difficiles d'accès, pollués ou situés en zone inondable, tous ces terrains sont inutilisés et ne conviennent ni à l'agriculture à but alimentaire, ni à l'implantation d'habitations. Ils sont pourtant loin d'être inutilisables. Ces sites marginaux font partie des nombreux lieux identifiés comme ayant un potentiel de production de biomasse par le projet New-C-Land.

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