En République démocratique du Congo , les grands parcs connaissent des conditions sécuritaires difficiles. Depuis la fin de l’ère Mobutu , le personnel national (des éco-gardes aux cadres) n’a plus été formé. Le défi : passer de la coercition à la conservation participative en impliquant les populations.
Les parcs de la République démocratique du Congo sont-ils menacés ? Nous avons posé la question au Belge Baudouin Michel, coordonnateur, depuis sept ans, des activités de l’ERAIFT (École régionale postuniversitaire d’aménagement et de gestion intégrés des forêts et territoires tropicaux), qui forme, à Kinshasa, les cadres d’Afrique centrale pour la gestion des parcs et forêts.