Un Belge confiné sur deux souffre psychologiquement

Le confinement, bien qu’il soit accepté pour des raisons de sécurité, ne fait pas que des heureux, bien au contraire.C’est ce que révèle une enquête internationale, intitulée “Covid et moi”, lancée au début du confinement à la mi-mars. Le professeur Vincent Lorant (UCLouvain) et son équipe ont sondé la population belge. Les premiers éléments de cette étude sont sans appel : le confinement est une souffrance psychologique. Parmi les 15 000 Belges qui ont répondu cinq jours après le début du confinement, 52 % se disaient – déjà — en situation de mal-être psychologique.

Un Belge confiné sur deux souffre psychologiquement
©Shutterstock

Le confinement, bien qu’il soit accepté pour des raisons de sécurité, ne fait pas que des heureux, bien au contraire.

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