Pourquoi le coronavirus se fait-il rare dans l’est de l’Asie ?

Pourquoi le coronavirus se fait-il rare dans l’est de l’Asie ?
©ABACAPRESS

Pendant que l’Europe et l’Amérique luttent désespérément contre le coronavirus, l’est de l’Asie reste peu touché ; les nouveaux cas apparus cet été n’ont certainement pas atteint l’ampleur de la seconde vague qui déferle actuellement sur l’Europe. Alors qu’on compte, depuis le début de la pandémie, près de 23 300 cas par million d’habitants en Belgique, ce ratio est de 3 au Laos, 12 au Vietnam, 53 en Thaïlande, 62 en Chine, 498 en Corée du Sud, 748 au Japon, 1 350 en Indonésie - pour ne citer qu’eux -, selon les chiffres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). "Dans l’ensemble, 1 % de tous les nouveaux cas et décès hebdomadaires ont été signalés dans la région du Pacifique occidental" , relève l’OMS dans sa lettre épidémiologique hebdomadaire. Un pour cent seulement, dont la majorité a été enregistrée aux Philippines, en Malaisie et au Japon. La Chine, où le nouveau coronavirus avait fait son apparition à la fin de l’an dernier, se targue aujourd’hui d’avoir quasi éradiqué le virus sur son sol.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...