La fonte avant la plage
Trois, deux, puis, plus qu'une semaine avant l’épreuve que redoutent 83 % des jeunes femmes, s’il faut en croire un sondage tout récemment paru dans le magazine féminin Flair, et nous y voilà. Non pas l’épreuve des examens - quoique -, mais bien celle du bikini.
Publié le 18-06-2011 à 04h15 - Mis à jour le 18-06-2011 à 11h06
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Trois, deux, puis, plus qu'une semaine avant l’épreuve que redoutent 83 % des jeunes femmes, s’il faut en croire un sondage tout récemment paru dans le magazine féminin Flair, et nous y voilà. Non pas l’épreuve des examens - quoique -, mais bien celle du bikini. Car ce petit bout de vêtement qui vient de fêter ses 65 étés relève du cauchemar pour celles qui restent persuadées que leurs "cuisses manquent de fermeté".
Et dans ce cas, elles sont plus nombreuses qu’on le croit. Au point qu’une femme sur deux changerait bien de corps le temps des vacances et qu’elles sont autant à préférer garder un top ou en short sur la plage. Ce qui les complexe le plus, toujours d’après cette enquête ? Leur "petit ventre" (30 %), leurs fesses (14 %) et leurs jambes (12 %).
Alors que le décompte avant la cruelle exposition a furieusement commencé, les magazines persistent à proposer des formules magiques pour perdre, en un temps record, les bourrelets et capitons superflus. A coups de régimes parfois très farfelus qui ne garantissent pas nécessairement une fonte des graisses aux endroits voulus, et qui, de surcroît, se révèlent rarement anodins. Mettant en garde contre les dangers de l’effet yoyo, la communauté scientifique ne cesse de le clamer : faire régime est la meilleure façon de grossir.
Dès lors, quand le sport n’est pas nécessairement envisagé au programme, que reste-t-il pour faire fondre comme neige au soleil ces quelques centimètres de tour de cuisse ou de taille qui n’étaient pas les bienvenus, sinon des traitements localisés ? Testés pour vous, en voici deux - parmi de nombreux autres - d’approches très différentes, avec une promesse de départ cependant identique : une taille en moins au bout des cinq séances. Pour le croire, il fallait le voir. Et, mieux, l’expérimenter. Nous avons joué le jeu