Plus belle, la vie, après un AVC ? C’est lui qui le dit !

Un pseudo borsalino au ruban rose sur la tête, assorti à la chemise et aux chaussettes, Antoine Audouard débarque, tout sourire bien que "traînant la patte", comme il aurait pu dire, en cette belle journée ensoleillée. Peut-être un temps comme celui qu'il faisait le 28 juin 2012 alors que " par un beau midi de début d'été, écrit-il dans les premières lignes de "Partie gratuite", j'ai émergé d'une sieste pour découvrir que le côté gauche de mon corps était paralysé et que toute la partie gauche du monde avait disparu".

Laurence Dardenne
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©FLEMAL JEAN-LUC

Un pseudo-borsalino au ruban rose sur la tête, assorti à la chemise et aux chaussettes, Antoine Audouard débarque, tout sourire bien que "traînant la patte", comme il aurait pu dire, en cette belle journée ensoleillée. Peut-être un temps comme celui qu'il faisait le 28 juin 2012 alors que " par un beau midi de début d'été , écrit-il dans les premières lignes de "Partie gratuite" (Ed. Robert Laffont, 22,70 €), j'ai émergé d'une sieste pour découvrir que le côté gauche de mon corps était paralysé et que toute la partie gauche du monde avait disparu ".

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