Comme la traduction automatique, la transcription automatique a connu elle aussi un saut technologique, en particulier ces deux ou trois dernières années. Elle a profité des avancées dans le domaine du "deep learning", ou apprentissage automatique profond.
Car comme pour la traduction, il s’agit d’associer de grandes quantités de paroles (des milliers d’heures, avec une diversité de locuteurs) et des transcriptions, et de les "faire digérer" à la machine pour qu’elle apprenne à faire ces transcriptions elle-même. Et c’est performant, même s’il reste encore beaucoup de défis.