"Il y a quarante ans, les Rolling Stones, les Beatles et les Who jouaient dans des salles de 6 000 personnes sans mettre de micro devant leur batterie, lance Philippe Ohsé.
Ce n’était pas nécessaire à l’époque, les concerts allaient nettement moins fort qu’aujourd’hui. Lors du festival de Woodstock, on se situait même en dessous des 85 décibels." Depuis, le niveau sonore des concerts et autres événements musicaux n’a cessé d’augmenter. A tel point qu’on dépasserait désormais régulièrement les 100 décibels de moyenne dans les salles et de nombreux festivals. "
Un niveau de volume, que les ORL jugent problématique si l’on écoute plus d’une chanson", poursuit ce mélomane lui-même victime d’acouphènes, qui milite depuis des années avec son association "90dB" pour faire baisser le niveau du son.
=> La Flandre en avance, la Wallonie en retard
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