Exigence architecturale

L’UCL a donné son accord de principe pour l’extension du centre commercial de l’Esplanade jusqu’à la pompe Total. Pour Philippe Barras, l’extension pourrait s’articuler avec le quartier Courbevoie. Les études de marché montreraient aussi que l’offre correspondrait au pouvoir d’achat et au potentiel de clients : "Il y a pas mal d’avantages. Pour nous, cela va conforter le centre et l’attractivité du centre, car l’offre sera plus importante. Par ailleurs, pour l’instant, la zone de l’extension est un terre-plein désert. C’est un peu la façade que l’on voit quand on arrive à Louvain-la-Neuve. Ce n’est pas très joli Donc, dans le cadre de l’extension, nous aurons des exigences sur la nouvelle façade. Ce sera la définitive ! Au point de vue architectural, le travail devra être de qualité." Pour lui, il n’y aura pas le même choc pour le commerce de la dalle qu’à l’ouverture de l’Esplanade : "Ici on aura des enseignes comme de l’habillement, et l’évolution sur la dalle a déjà eu lieu. Cela ne devrait pas changer grand-chose, et faire concurrence à ce qui existe aujourd’hui." Mais l’arrivée de l’Esplanade a apporté une concurrence aux magasins, qui était presque tous en position de monopole, dit-il. "Ceux qui étaient dans l’habillement ont eu très dur, car on ne peut pas concurrencer des enseignes à l’offre variée et aux prix imbattables, et ont donc disparu. Ceux qui ont fait un effort et trouvé un marché de niche, ceux qui ont accru l’aspect service, amélioré leur vitrine, participé aux braderies, ceux là sont toujours présents.. Ceux qui n’ont pas voulu se remettre en question, surtout dans le textile, ont disparu." Il remarque que les commerçants à qui l’UCL loue à présent des surfaces sont bien préparés. Enfin, aux commerçants qui réclament davantage d’investissements pour les rénovation des bâtiments, il rappelle que les loyers demandés par l’UCL aux commerçants sont très faibles. Qu’en ce qui concerne les façades des bâtiments, l’UCL n’est pour la plupart que le gestionnaire des surfaces commerciales, et donc une sorte d’intermédiaire. Et malheureusement, les propriétaires investissent souvent un minimum dans les bâtiments. "O n ne demanderait pas mieux de faire des ravalements de façades. Et régulièrement, on fait passer ce message, mais s’ils ne veulent pas investir On n’a qu’un pouvoir de proposition."

L’UCL a donné son accord de principe pour l’extension du centre commercial de l’Esplanade jusqu’à la pompe Total. Pour Philippe Barras, l’extension pourrait s’articuler avec le quartier Courbevoie. Les études de marché montreraient aussi que l’offre correspondrait au pouvoir d’achat et au potentiel de clients : "Il y a pas mal d’avantages. Pour nous, cela va conforter le centre et l’attractivité du centre, car l’offre sera plus importante. Par ailleurs, pour l’instant, la zone de l’extension est un terre-plein désert. C’est un peu la façade que l’on voit quand on arrive à Louvain-la-Neuve. Ce n’est pas très joli Donc, dans le cadre de l’extension, nous aurons des exigences sur la nouvelle façade. Ce sera la définitive ! Au point de vue architectural, le travail devra être de qualité." Pour lui, il n’y aura pas le même choc pour le commerce de la dalle qu’à l’ouverture de l’Esplanade : "Ici on aura des enseignes comme de l’habillement, et l’évolution sur la dalle a déjà eu lieu. Cela ne devrait pas changer grand-chose, et faire concurrence à ce qui existe aujourd’hui." Mais l’arrivée de l’Esplanade a apporté une concurrence aux magasins, qui était presque tous en position de monopole, dit-il. "Ceux qui étaient dans l’habillement ont eu très dur, car on ne peut pas concurrencer des enseignes à l’offre variée et aux prix imbattables, et ont donc disparu. Ceux qui ont fait un effort et trouvé un marché de niche, ceux qui ont accru l’aspect service, amélioré leur vitrine, participé aux braderies, ceux là sont toujours présents.. Ceux qui n’ont pas voulu se remettre en question, surtout dans le textile, ont disparu." Il remarque que les commerçants à qui l’UCL loue à présent des surfaces sont bien préparés. Enfin, aux commerçants qui réclament davantage d’investissements pour les rénovation des bâtiments, il rappelle que les loyers demandés par l’UCL aux commerçants sont très faibles. Qu’en ce qui concerne les façades des bâtiments, l’UCL n’est pour la plupart que le gestionnaire des surfaces commerciales, et donc une sorte d’intermédiaire. Et malheureusement, les propriétaires investissent souvent un minimum dans les bâtiments. "O n ne demanderait pas mieux de faire des ravalements de façades. Et régulièrement, on fait passer ce message, mais s’ils ne veulent pas investir On n’a qu’un pouvoir de proposition."

Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...