Brèves

Pour encourager les automobilistes à pratiquer le covoiturage, des aires de stationnement ont été aménagées le long de l’autoroute E411. Mais ces initiatives n’inspirent pas que de bonnes intentions. Dans la nuit du 3 au 4 mai 2008, des voitures ont été incendiées sur ces parkings. Il s’agissait pour les auteurs de faire disparaître toute trace après avoir volé à l’intérieur des véhicules. Devant le tribunal correctionnel de Nivelles où ils doivent s’expliquer sur ces faits, les deux auteurs qui habitaient à Perwez à l’époque, avouent avoir siphonné de l’essence en début de soirée, dans deux véhicules. Mais ils nient avoir bouté le feu aux voitures : ils affirment que ce serait un troisième larron, lequel volait seul également. Ce dernier affirme qu’il était dans un tel état ce soir-là qu’il ne se souvient de rien. Les études de téléphonie ont montré qu’il était sur place. "Si mon GSM y était, c’est que j’y étais", indique-t-il à la présidente. Pas question cependant de tout assumer seul. Certaines constatations matérielles contredisent les deux prévenus. Le ministère public réclame des peines de travail contre tous.

V.F.

Correctionnelle

Vols et incendies à la chaîne à Perwez

Pour encourager les automobilistes à pratiquer le covoiturage, des aires de stationnement ont été aménagées le long de l’autoroute E411. Mais ces initiatives n’inspirent pas que de bonnes intentions. Dans la nuit du 3 au 4 mai 2008, des voitures ont été incendiées sur ces parkings. Il s’agissait pour les auteurs de faire disparaître toute trace après avoir volé à l’intérieur des véhicules. Devant le tribunal correctionnel de Nivelles où ils doivent s’expliquer sur ces faits, les deux auteurs qui habitaient à Perwez à l’époque, avouent avoir siphonné de l’essence en début de soirée, dans deux véhicules. Mais ils nient avoir bouté le feu aux voitures : ils affirment que ce serait un troisième larron, lequel volait seul également. Ce dernier affirme qu’il était dans un tel état ce soir-là qu’il ne se souvient de rien. Les études de téléphonie ont montré qu’il était sur place. "Si mon GSM y était, c’est que j’y étais", indique-t-il à la présidente. Pas question cependant de tout assumer seul. Certaines constatations matérielles contredisent les deux prévenus. Le ministère public réclame des peines de travail contre tous.

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