Brèves
En août 2008, cet agent, qui assurait la sécurité d’une soirée sous chapiteau à Villers-la-Ville, s’est énervé à l’heure de fermeture, alors que certains jeunes quittaient difficilement les lieux. Parmi eux, l’un aurait changé de T-shirt pour se faire passer pour un organisateur, et serait venu vers l’agent en serrant les poings, raisons pour lesquelles l’agent l’a giflé. Solide, la gifle : elle a nécessité la pose de trois points de suture La victime parle plutôt de coups de poing qui lui auraient été assénés au visage. Ensuite, l’agent est resté planté au milieu du chemin et l’autre est arrivé en voiture, bloquant à 1,5 m de lui en voyant qu’il ne bougeait pas. Les portières étaient fermées, et l’agent s’est énervé, a brisé le pare-brise et donné un coup dans la porte. Le prévenu a refusé la médiation qui imposait une formation à la gestion de la violence. Le ministère public, lui, suggère qu’on reprenne cette condition pour l’octroi d’un sursis.
Publié le 30-10-2010 à 04h17
Correctionnelle
L’agent de sécurité de Villers-la-Ville s’était énervé
En août 2008, cet agent, qui assurait la sécurité d’une soirée sous chapiteau à Villers-la-Ville, s’est énervé à l’heure de fermeture, alors que certains jeunes quittaient difficilement les lieux. Parmi eux, l’un aurait changé de T-shirt pour se faire passer pour un organisateur, et serait venu vers l’agent en serrant les poings, raisons pour lesquelles l’agent l’a giflé. Solide, la gifle : elle a nécessité la pose de trois points de suture La victime parle plutôt de coups de poing qui lui auraient été assénés au visage. Ensuite, l’agent est resté planté au milieu du chemin et l’autre est arrivé en voiture, bloquant à 1,5 m de lui en voyant qu’il ne bougeait pas. Les portières étaient fermées, et l’agent s’est énervé, a brisé le pare-brise et donné un coup dans la porte. Le prévenu a refusé la médiation qui imposait une formation à la gestion de la violence. Le ministère public, lui, suggère qu’on reprenne cette condition pour l’octroi d’un sursis.
