Brèves

Une convention liant la ville et l’UCL au sujet de la mise en sécurité et du désenfumage des voiries couvertes de Louvain-la-Neuve a été soumise au conseil communal. En réalité, cette convention porte sur le partage des frais d’études, avant le désenfumage. La ville souhaite en effet que d’autres intervenants soient associés à cette étude, ce qui permettrait de diminuer la part de chacun, non seulement pour l’étude, mais aussi pour le désenfumage.

L. Dm.

Ottignies-LLN

Désenfumage : l’UCL interviendra dans l’étude

Une convention liant la ville et l’UCL au sujet de la mise en sécurité et du désenfumage des voiries couvertes de Louvain-la-Neuve a été soumise au conseil communal. En réalité, cette convention porte sur le partage des frais d’études, avant le désenfumage. La ville souhaite en effet que d’autres intervenants soient associés à cette étude, ce qui permettrait de diminuer la part de chacun, non seulement pour l’étude, mais aussi pour le désenfumage.

La ville et l’UCL se sont d’ores et déjà engagées à payer la moitié de l’étude. Ce qui revient, pour chaque partenaire, à débourser un maximum de 420000 €, puisque l’offre la plus élevée se monte à 840000 €. La convention prévoit aussi que si des tiers (la Région wallonne et le promoteur) rejoignent les deux partenaires, la répartition des frais se fera à parts égales, au prorata du coût des travaux.

Ce qui a séduit Jacques Otlet : "Lors des premiers débats, on avait estimé qu’il fallait que l’UCL et d’autres propriétaires assument leurs responsabilités. Vous y êtes arrivés pour l’étude, félicitations. Mais j’ai un doute concernant les travaux. Peut-on conclure que l’UCL partagera le coût des travaux, si elle s’engage à supporter une partie des coûts de l’étude ?"

Le bourgmestre Jean-Luc Roland a précisé qu’il ne pouvait pas garantir la participation des partenaires au coût des travaux, mais que la participation de l’UCL aux frais d’études était une avancée significative ! Jacques Otlet a aussi demandé si les discussions étaient encore ouvertes avec la Région, malgré que les démarches engagées soient restées sans suite. Le maïeur a acquiescé.

Quant à Jacky Réginster, il s’est demandé pourquoi un tiers, comme le promoteur, se joindrait à la table des négociations. Réponse sibylline du bourgmestre : "Il existe des procédures assez convaincantes pour le promoteur et j’ai bon espoir que cela marche !"

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